
Dans un tournant majeur de la diplomatie américaine, le président Donald Trump a lancé ce mardi un ultimatum direct au président russe Vladimir Poutine, exigeant l’arrêt immédiat de la guerre en Ukraine dans un délai de 12 jours. Une prise de position musclée qui marque un durcissement notable du ton de Washington vis-à-vis de Moscou.
S’exprimant depuis la Maison Blanche, Donald Trump a déclaré : « Les États-Unis ne resteront plus les bras croisés face à l’agression de l’Ukraine. J’envoie un message clair à Vladimir Poutine : il a douze jours pour retirer ses troupes et entamer un véritable processus de paix. Passé ce délai, des mesures inédites seront prises. »
Sans préciser la nature exacte de ces mesures, le président américain a laissé entendre que les États-Unis sont prêts à renforcer drastiquement les sanctions économiques contre la Russie, voire à soutenir militairement l’Ukraine à un nouveau niveau.
Cette déclaration a immédiatement provoqué une vague de réactions à travers le monde. Kiev a salué l’initiative, y voyant un « soutien historique », tandis que le Kremlin, par la voix de son porte-parole, a dénoncé « une menace inacceptable » et une tentative d’ingérence dans les affaires russes.
Dans les coulisses de la diplomatie internationale, certains analystes voient dans cette sortie une stratégie de Trump pour réaffirmer la puissance américaine sur la scène mondiale, dans un contexte marqué par de multiples crises géopolitiques.
À quelques mois d’échéances électorales internationales, cet ultimatum présidentiel pourrait bien redessiner les équilibres entre l’Occident et la Russie.
La communauté internationale, quant à elle, retient son souffle.